8/02+24/02/2024 Arpentage + rencontre : « Faire justice » d’Elsa Deck Marsault – Sortir des logiques punitives

Dans  « Faire justice », Elsa Deck Marsault questionne le conflit et son utilité et explore les voies alternatives vers le processus de réparation.

Comment réparer les violences sexistes et sexuelles sans reproduire ces logiques punitives, venues des institutions policières et pénales ? Comment répondre sereinement au conflit ? Que produisent les pratiques punitives au sein des milieux féministes, LGBTI+, antiracistes ou encore écolos ?

En s’appuyant sur des cas concrets et sur l’abolitionnisme pénal, Elsa Deck Marsault pose les jalons d’une justice transformatrice, qui permettrait non seulement de transformer les individus, mais aussi toute la société.


Un arpentage, c’est quoi ? Il s’agit d’une lecture collective d’une œuvre. Cette technique issue des milieux ouvriers permet de rendre un livre plus accessible et de se l’approprier en groupe en développant ensemble son analyse critique

INFOS PRATIQUES

!!! L’ARPENTAGE EST COMPLET, BIENVENUE A LA SOIREE
* Quand ? Le 8 février de 17h30 à 20h30 (Inscription obligatoire) ou le 24 février 2024 de 16h à 19h (inscription obligatoire). L‘atelier du 24 février sera suivi d’une rencontre avec l’autrice (sandwiches offerts aux participant·es à l’arpentage et à la rencontre.
* Où ? CFS Collectif Formation Société, rue de la Victoire 26 – 1060 Bruxelles (Saint-Gilles)
* Pour qui ? Pas de prérequis nécessaire
* PAF ? Gratuit
* Infos/Contacts : Marine Dessard

Le mouvement PAC, le Centre Librex et le CFS vous proposent un cycle de rencontres entamant et poursuivant une réflexion autour des violences policières et institutionnelles. Ce cycle fait suite à la projection du film-documentaire, « Quand la police tue », organisée le 11 janvier 2023 (par PAC, Front de mères Belgique et ZinTV).

La situation que révèle ce documentaire est alarmante. Comment ce combat peut-il être nourri par la justice transformative et l’abolitionnisme pénal ? Que nous révèlent les violences policières ? Comment pouvons-nous agir collectivement pour que cessent ces brutalités institutionnelles ? Et si nous nous autorisions à imaginer une justice en dehors des carcans habituels.