24/02/2024 Rencontre avec Elisa Deck Marsault
Elsa Deck Marsault est cofondatrice de Fracas, un collectif queer et féministe d’entraide à la prise en charge des conflits et des violences en milieu intracommunautaire. Dans « Faire justice », elle partage son expérience militante et questionne le conflit et son utilité et explore les voies alternatives vers le processus de réparation.
Comment réparer les violences sexistes et sexuelles sans reproduire ces logiques punitives, venues des institutions policières et pénales ? Comment répondre sereinement au conflit ? Que produisent les pratiques punitives au sein des milieux féministes, LGBTI+, antiracistes ou encore écolos ? En s’appuyant sur des cas concrets et sur l’abolitionnisme pénal, Elsa Deck Marsault pose les jalons d’une justice transformatrice, qui permettrait non seulement de transformer les individus, mais aussi toute la société.
Vous n’avez pas eu l’opportunité de livre l’ouvrage d’Elsa Deck Marsault et vous souhaitez savoir ce qui s’y trouve – collectivement – avant d’assister à la rencontre-débat ? Cela tombe bien, nous vous proposons en amont ! [COMPLET]
INFOS PRATIQUES
* Quand ? Le 24 février 2024 de 19h30 à 21h30 (inscription obligatoire) (sandwiches offerts aux participant·es à l’arpentage et à la rencontre.)
* Où ? CFS Collectif Formation Société, rue de la Victoire 26 – 1060 Bruxelles (Saint-Gilles)
* Pour qui ? Pas de prérequis nécessaire
* PAF ? Gratuit
* Infos/Contacts : Marine Dessard
Le mouvement PAC, le Centre Librex et le CFS vous proposent un cycle de rencontres entamant et poursuivant une réflexion autour des violences policières et institutionnelles. Ce cycle fait suite à la projection du film-documentaire, « Quand la police tue », organisée le 11 janvier 2024 (par PAC, Front de mères Belgique et ZinTV).
La situation que révèle ce documentaire est alarmante. Comment ce combat peut-il être nourri par la justice transformative et l’abolitionnisme pénal ? Que nous révèlent les violences policières ? Comment pouvons-nous agir collectivement pour que cessent ces brutalités institutionnelles ? Et si nous nous autorisions à imaginer une justice en dehors des carcans habituels ?