Objectif de ce deuxième rendez-vous: replacer le numérique dans une histoire des techniques et technologies. D’abord pour le situer dans une histoire longue : examiner ce que les techniques modifient dans les gestes, les pensées, les relations au monde. Et aussi mettre en évidence les choix e.a. politiques qui les président.
Trois jours de formation afin d’amener les professionnel-le-s du secteur socio-culturel à s’interroger sur leurs valeurs, priorités et objectifs, leurs perceptions et émotions, leurs processus de pensée et modalités de communication, notamment dans le cadre des relations d’interculturalité qu’ils-elles établissent avec leurs publics cibles… Conçue comme un atelier interactif, la formation constituera un espace offert où chacun-e pourra exprimer ses interrogations et difficultés rencontrées dans ses pratiques professionnelles, échanger avec ses pairs, tester des outils d’animation de découvrir de nouvelles potentialités.
Vous êtes acteur(rice) de terrain, intervenant(e) dans le champ social, enseignant(e) ou simplement citoyen(ne) impliqué(e) dans la vie de la cité; Vous désirez …
Il y a 33 ans, le premier Congrès ordinaire de banalyse se tenait à Fades (Puy-de-Dôme), dans l’indifférence la plus générale. Ce rassemblement sans objectif autre que l’observation du banal entendait constituer une réponse radicale au processus de colonisation sans fin du réel par sa valeur marchande. Que reste-t-il de ce mouvement post-situationniste en 2015? Une soirée proposée à la Quincaillerie par le Centre Librex et les Acteurs du temps présent.
Lors de l’atelier citoyen du 1er décembre 2015, de 18h30 à 20h30, dans les locaux du Centre d’Action Laïque, nous vous proposons une présentation de l’outil Traits d’humour réalisé par Le GSARA. Cet outil vise à nous faire réfléchir sur le traitement médiatique de questions d’actualité aussi sensibles que cruciales. Basé sur 15 dessins et accompagné d’un dossier pédagogique, il décrypte les sujets abordés et explore des pistes d’échanges et de discussions.
Lutter en faveur des droits des femmes, évidemment. Mais de quels droits et de quelles femmes parle-t-on exactement ? Alors que le concept d’intersectionnalité s’impose outre-Atlantique, ici, l’arrivée dans le débat public des femmes de l’immigration bouscule le féminisme… Autour de Rhokaya Diallo, nous nous demanderons comment, dans un contexte postcolonial, penser l’articulation des différentes luttes. Comment éviter leur instrumentalisation à des fins racistes ou communautarisantes ? Comment surmonter les divergences pour renforcer les combats communs ?
Pourquoi le négationnisme de Faurisson est-il proprement insupportable? Qu’est-ce qui se joue, quasi mécaniquement, entre celles et ceux qui sont Charlie, et ceux et celles qui ne le sont pas ? Qu’est-ce qu’une violence symbolique ? En tentant d’éclairer certaines situations par le concept de différend, Jacqueline Fastrès nous permettra de mettre des mots sur ce qui, sinon, reste le plus souvent de l’ordre du non-dit et même de l’indicible. Elle nous propose un outil fécond pour apprendre à décortiquer et, peut-être, désamorcer des situations potentiellement explosives.
Dans un monde où plus personne ne croit au mythe du plein emploi, est-il raisonnable de continuer à faire du travail le fondement du lien social ? Pour creuser la question, le Centre Librex, avec Info-Jeunes Schaerbeek et le Collectif 1984, proposent une soirée autour de trois courts métrages : « Les portes de l’emploi », « De longues vacances » et « Win for Life ». Les réalisateurs/trices croiseront ensuite leurs regards avec Sanae Aghbal, travailleuse de terrain et philosophe. Un échange modéré et commenté par Edgar Szoc.
Liberté, égalité, fraternité.
Comment les valeurs de notre démocratie s’inscrivent-elles sur le territoire de notre ville, dans le décor de notre quotidien ? Nous vous proposons une flânerie dans le centre-ville, en compagnie de Frédérique Van Acker qui nous guidera dans un Bruxelles inédit et nous racontera les aventures d’hommes et des femmes luttant pour la défense de valeurs qui nous sont chères.
Vous êtes professionnel(le) de l’animation, de l’éducation et du travail social, bénévole dans le milieu associatif, et plus largement une personne engagée dans une démarche citoyenne.
Nous vous proposons 4 jours de formation pour vivre, puis vous exercer à animer des cercles de parole du programme de développement affectif et social.
