Débobiner & débattre, c’est partir à la découverte du cinéma et ouvrir les portes vers d’autres horizons. A quels besoins répondent la précarisation des travailleurs et la persécution des chômeurs en société néolibérale? Ce jeudi 13, rencontre avec André Denayer, président d’ATD Quart Monde.
Débobiner & débattre, c’est partir à la découverte du cinéma et ouvrir les portes vers d’autres horizons. À chaque séance, une nouvelle rencontre où deux intervenants, venus du cinéma et d’une autre spécialité, sont là pour discuter, cogiter, tergiverser, et surtout échanger avec vous autour du film, autour d’un verre. Cette fois, rencontre avec Natalia Hirtz, de l’Université des Femmes et du Gresea.
« Pour un numérique humain et critique », quatrième saison, c’est parti! Où il sera question de l’impact du numérique sur le travail…
En guise de soirée apéritive à Féministe toi-même!, le jeudi, on se rencontre et on débat…
Superbe programme pour cette cinquième année déjà, pour un féministe festif et de combat…
Débobiner & débattre, c’est partir à la découverte du cinéma et ouvrir les portes vers d’autres horizons. La projection d’un film devient alors prétexte à la création d’un lieu d’échange où le cinéma rencontre d’autres domaines, se positionnant comme un miroir de la société. À chaque séance, une nouvelle rencontre où deux intervenants, venus du cinéma et d’une autre spécialité, sont là pour discuter, cogiter, tergiverser, et surtout échanger avec vous autour du film, autour d’un verre.
Dans notre société sécularisée régie par la loi des hommes depuis belle lurette, la vertu a mauvaise presse, renvoyant à la morale chrétienne …
Le monde change. Et la Franc-Maçonnerie ? Que pense-t-elle, que dit-elle, que fait-elle dans les lieux couverts où elle se réunit ? …
Parce que les mots sont importants, nous vous proposons trois rencontres autour de trois concepts centraux dans les grilles de lecture du monde contemporain…
Au-delà des jours et au-delà des temps, les mythes et les contes. « J’aime leur excès et leur jubilation, j’aime la majesté qu’ils confèrent à toute souffrance, à toute errance humaine » J. Kelen.
Leur langage : le symbole, par excellence langage de la liberté car il n’impose aucune vérité et se contente de suggérer ; chacun y puise ce dont il a besoin.
