23/02/21 | Midi du Centre Librex | Rencontre avec le syndicat des travailleur·euses du sexe.
* Quand ? Le mardi 23 février 2021, de 12h30 à 14h00 (accueil dès 12h15).
* Où ? En ligne. Via Jitsi.
Il suffit de vous inscrire et vous recevrez un lien pour vous connecter 1/4 d’heure avant l’exposé / discussion.
* Paf : Gratuit.
* Inscription indispensable : mfrancois@centrelibrex.be
Nous limiterons les places à 15 personnes afin d’assurer un temps d’échanges de qualité.
UTSOPI, c’est l’acronyme de l’Union des Travailleur.se.s du Sexe Organisé.e.s pour l’Indépendance. Collectif autogéré et auto-organisé, UTSOPI a pour objet social de représenter en Belgique les travailleuses et travailleurs du sexe, quel que soit leur genre ou le service proposé, et à leur assurer une autonomie totale.
Le Centre Librex vous propose un temps d’échange et de dialogue sur le travail d’UTSOPI et donc, plus largement, sur le travail du sexe. Quelles sont les conditions de travail de ce secteur ? Comment a-t-il traversé (et traverse-t-il encore) la crise sanitaire actuelle ? Quels sont les revendications portées par UTSOPI ? En quoi consiste le travail de ce collectif ?
Pour cet événement, c’est avec grand plaisir que nous accueillons Sonia Verstappen, anthropologue et ancienne TDS, membre du CA d’UTSOPI, et Maxime Maes, coordinateur d’UTSOPI. Dans un premier temps, nous présenterons le travail d’UTSOPI et ferons le point sur les spécificités du secteur dans le contexte du Covid. Cette présentation sera suivie par un échange avec le public
Programme
12h15 : Accueil
12h30 : Exposé et discussions
14h00 : Fin
En préalable à cette rencontre, nous vous suggérons la lecture de l’article écrit par notre invitée, Sonia Verstappen, pour la Revue Politique.
Retrouvez l’article en cliquant ici.
Cette rencontre se veut non polémique. Nous parlons bien ici du travail du sexe comme activité volontaire. Nous n’ignorons évidemment pas que beaucoup de personnes en situation de prostitution n’accèdent pas ou difficilement aux médias ou aux espaces associatifs classiques, notamment parce qu’elles sont exploitées dans des conditions de précarité inouïe. Mais le combat contre la traite d’êtres humains et l’esclavage nous semblent renvoyer à une autre problématique.