À propos

Le Centre régional du Libre Examen a été fondé en 1978. Bien que sans lien structurel
avec celui-ci, il se voulait le prolongement professionnalisé du Cercle du Libre
Examen de l’Université Libre de Bruxelles et s’inscrit donc résolument, dès sa
création, dans le monde et les valeurs laïques.

L’association a pour but la diffusion du principe et de la démarche du libre examen
ainsi que le développement d’une prise de conscience et d’une connaissance critique
des réalités de la société. Elle se donne pour mission de susciter dans une perspective
laïque de l’éducation permanente, les capacités d’analyse, de choix et d’action pour
l’émancipation des citoyen·nes à l’égard de toute forme d’assujettissement, de
domination, de discrimination, d’aliénation. (Article 1, statuts de l’asbl).

Le Centre régional du Libre Examen  a pour objectif la diffusion du principe et de la démarche du libre examen ainsi que le développement d’une prise de conscience critique des réalités de la société. Il se donne pour objectif de susciter, dans une perspective laïque de l’éducation permanente, les capacités d’analyse, de choix et d’action pour l’émancipation de l’Homme à l’égard de toute forme de cléricalisme, d’assujettissement et de discrimination. (Statuts de l’asbl, art. 1)

Le Centre régional du Libre Examen a pour objectif la diffusion du principe et de la démarche du libre examen ainsi que le développement d’une prise de conscience critique des réalités de la société. Il se donne pour objectif de susciter, dans une perspective laïque de l’éducation permanente, les capacités d’analyse, de choix et d’action pour l’émancipation de l’Homme à l’égard de toute forme de cléricalisme, d’assujettissement et de discrimination. (Statuts de l’asbl, art. 1)

L’objet social ainsi décrit dans le premier article des statuts de notre association
constitue, depuis la création de celle-ci, le fondement de notre action au quotidien. Il
pourrait être résumé par la volonté de travailler les prises de conscience à l’échelle
individuelle pour les faire remonter au niveau collectif, avec pour objectif final
l’émancipation de chacun·e mais aussi des groupes sociaux minorisés.